"Être ou ne pas être ?"

"Les conséquences de nos actions sont des épouvantails pour les laches et des rayons de lumière pour les sages"





Nom :Neilor
Prénom :Thyridlas
Surnom :a vous de voir
Age : 15
Orientation sexuelle :hétérosexuel



"Et le physique, ça donne quoi ?"

"Prenez garde quand vous regardez l'abime, car l'abime aussi vous regarde..."


Cheveux (Couleur/texture) : Les cheveux de Thyridlas sont relativement disciplinés, gris tirant sur le blanc. On peut donc attribuer le fait qu'il utilise un objet incroyablement sophistique; l'oreiller,la main dans les jours ou il tente d'être élégant pour se coiffer a ses échecs a répétitions, environ trente par mois, pour obtenir une coiffure correcte. Ses cheveux encadrent donc l'ovale de son visage comme ils le veulent, dans une formation plutôt anarchique.

Yeux/regard : Les yeux de Thyridlas sont gris clair. Ils n'expriment pas grand chose en général, toujours fixés sur le vide, comme si Thyridlas regardait un tableau qu'il était le seul a voir. Ce regard lui a déjà valu d'être pris pour un idiot, mais jamais il n'a changé. Il reste a jamais fixé vers le monde de Thyridlas.

Couleur de peau, expression du visage : Thyridlas a une peau blanche tres claire, due a la rareté de ses expositions au soleil durant le début de sa vie. A vrai dire, sa peau est presque translucide et très sensible au soleil, c'est pourquoi il évite de l'y exposer trop longtemps. Son visage quand a lui est presque toujours inexpressif, sauf quand il parle a l'un des (rares) élèves qu'il aime bien, ou quand il est en contact avec ses créatures de papier. A ce moment, son visage prend vie et s'illumine, et ses yeux semblent petiller.


Poids/Taille :1m65; 45Kg (autant dire que c'est un poids plume)

Habits : Le style vestimentaire de Thyridlas consiste a ne pas en avoir. Il s'habille avec ce qu'il trouve, mais est toujours habillé avec des vêtements amples, laissant le moins de peau possible exposée. Une autre particularité des vêtements de Thyridlas est qu'ils sont remplis de poches intérieures. A chaque fois qu'il récupère un vêtement, il en coud une trentaine dessus, qui lui serviront a y mettre du papier, pour continuer d'entretenir son monde. Les seuls bijoux qu'il utilise sont des fils simples, sans perles ni ornements supplémentaires, glissées autour de son cou et de ses poignets. C'est également la seule constante dans la tenue vestimentaire de Thyridlas.
Signes particuliers : Facultatif

"T'as un sale caractère !"

"A force de combattre des moulins, leurs grands bras drapés de tissu vous attrappent et vous projettent dans la boue
-Ou dans les étoiles..."

Thyridlas est paumé. Vraiment. Il ne vit pas dans le même monde que les autres. Son monde a lui est fait de papier, et décrit une comédie enchantée tout autour de lui. Il peut passer des heures a regarder un de ses pliages se transformer sous ses yeux, ou a en créer un autre. Comme vivant dans un monde ou la malhonnêteté et les mauvaises intentions n'existent pas il ne déguise jamais sa pensée. Il n'a tout simplement pas conscience que cela peut etre dangereux pour lui ou pour les autres. Résulte de cet état un intéressant paradoxe. Une incroyable candeur doublée d'une érudition et d'une sagesse surprenante pour un enfant de son age. Pour ce qui concerne le conflit, son innocence est sa meilleure arme. Ne se mettant jamais en colère, il sourit et feint de ne pas comprendre, mais ne vous y trompez pas. Ce n'est pas parce qu'il ne réagit pas a ce qui l'entoure qu'il n'en a pas conscience. Il enregistre tout avec une grande precision, et garde tout dans un coin de son esprit, prêt a être réutilisé. Il semble qu'il n'ait pas conscience de la partie perverse de ce procédé, ne voyant comme d'habitude que le bon coté de la chose. J'ai pu constater qu'il en faut peu a Thyridlas pour être heureux. Un coin de ciel bleu, de l'herbe des arbres et du papier suffisent a son bonheur. Mais je crains pour sa santé mentale a cause de cette vision du monde. Quand je l'ai vu pour le première fois, il était déjà presque devenu muet, s'exprimant grâce a des marionnettes de papier. Et même si il a recommencé a parler, il ne le fait qu'en cas d'extrême nécessité. J'ai remarqué qu'il s'était lié d'amitié avec le jeune Deadlys. Il semblerait qu'ile recherche par cette démarche un certain équilibre, confrontant sa candeur et sa spiritualité au matérialisme et a l'expérience de la vie de son ami.


"Ecris l'histoire"

"C'est ainsi qu'on gagne les guerres. Pas avec des murailles ou des soldats, mais avec une simple lame de couteau, plantée artistiquement."


Pays d'origine :France

Mon histoire? Vous etes sûr? Ne pouvez vous pas vivre en paix et me laisser faire de même? Tant pis. Je suis né a Paris. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs de cette ville car on a quitté la france pour le japon dans la précipitation quand j'avais quatre ans. Maman était accro au jeu et changer de pays et d'identité était le seul moyen pour semer ses... Ses créanciers. L'ironie dans tout ca, c'est que bien que francais d'origine, je ne pare pas un mot de la langue de moliere. Ce dont je me souvienss avec précision, c'est de mon premier livre. De l'héroic fantasy. J'avais sept ans. J'ai voyagé avec ce livre. Je l'ai vraiment aimé. Mais un jour qque je courais tout en le lisant, j'ai trébuché et j'en ai déchiré une page en tombant. J'étais inconsolable. Et puis au bout de deux jours de lamentations, mon pere m'a appris que pour obtenir le pardon d'un papier que l'on avait tué, il fallait lui donner une seconde vie, pour remplacer celle qu'on venait de briser. C'est alors qu'il m'a montré mon premier pliage en papier, une cocotte toute simple. Un an plus tard,j'ai appris que le papier venait d'arbres qu'on abattait. J'ai donc entrepris de donner une seconde vie a ces arbres, pour obtenir leur pardon. Mais évidemment, pendant que je perfectionnais mes techniques de pliages, le destin attendait patiemment de pouvoir me jouer un mauvais tour. Quand les créanciers de maman l'ont retrouvé, ils m'ont enlevé, et papa aussi. Ils l'ont fait bruler devant moi. J'ai eu beau hurler et supplier, ils n'ont fait que rire en regardant maman et moi pleurer. Elle ne pouvait pas payer, et j'étais le suivant sur la liste. Ils m'ont cassé deux doigts avant que le miracle se produise. Les quelques billets que maman avait réussi a rassembler se sont mis a bouger tout seuls et se sont pliés en forme de pointe avant de charger les yeux de nos ravisseurs. Des valises posées a proximité ont explosé, répandant partout des billets. Je ne me souviens plus de ce qui c'est passé a ce moment, mais je me souviens qu'on avait dit que mes ravisseurs étaient morts ensevelis sous une véritable mer de faux billets. On m'a dit que maman avait refusé de quitter papa et avait fini par le rejoindre parce qu'elle ne voulait pas manger, et j'ai voulu faire pareil. Mais un détail a attiré mon attention. Comme j'avais un caillou dans la chaussure, je l'ai enlevée pour pouvoir marcher normalement. Mais ce n'étais pas un caillou mais un morceau de billet roulé en boule. Quand je l'ai touché, il s'est animé, et s'est déplié, avant de se replier pour former un petit renard en papier qui sautillait autour de moi. J'ai compris alors que mes parents pouvaient m'abandonner, j'avais obtenu le pardon des arbres, et ils m'offraient leur amour en échange de la second vie que je leur donnais. Des lors je n'ai plus jamais craint la solitude. Je n'ai d'ailleurs jamais plus été seul. J'avais l'air seul, mais mes compagnons de papier m'ont toujours accompagné. Je ne ressentais plus le besoin de voir d'autre gens, de faire d'autres activités. Du coup au bout de deux ans, la famille dans laquelle j'avais été placé et qui pensais avoir récupéré une poupée qui parle a du se lasser de n'avoir qu'une poupée qui ne parle pas. Elle m'a donc envoyé en internat dans une école spéciale, StarthClyde, ou se trouvaient des gens qui faisaient le même genre de choses que moi. J'y ai passé cinq ans jusqu'à maintenant. Des ma première année j'ai remarqué quelqu'un que j'aimais bien. Deadlys, le grand troisième année, le tombeur de ces dames. J'étais toujours derrière lui... Et je le suis toujours. On est devenus bons amis. En réalité c'est l'un de mes seuls, voir mon seul ami fait de chair. Puissions nous avoir la chance de survivre et sortir indemne de ces temps de troubles

"Autres"

"Mais qu'ece donc que tout cela?Vous-êtes mille?
Ah je vous reconnais, tous mes vieux enemis!
Le mensonge?
Tiens! Tiens! Ha! Ha! Les compromis, les préjugés, les lachetés!
Quez je pactise?
Jamais! Jamais! Ah! Te voila toi la sottise!
Je sais bien qu'a la fiin vous me mettrez a bas;
N'importe; Je me bats! Je mes bats! JE ME BATS!


Classe :Kinijirareta No Hikari
Don :maitrise du papier
Description du Don :Il maitrise le papier et l'anime
Armes :aucune

And you darling ?

"On est ce que l'on mange. Donc, en mangeant sainement, on devient un légume. C'est normal?"

"Pour vivre heureux vivons couchés"





Prénom :et vous?
Age :a votre avis?
Sexe :sans doute
Comment avez-vous connu le Forum ? :Terence (Deadlys) m'a appelé
Comment le trouvez-vous ? :joli